Extractivisme : Stop aux zones de sacrifice !
Derrière notre quotidien basé sur les nouvelles technologies et des objets devenus pour beaucoup « indispensables » comme le smartphone, se cache une réalité peu reluisante, celle de l’extraction des matières premières dans des conditions aux conséquences sociales, sanitaires et environnementales considérables.
Voir la publicationPrésentation Prezi « Les facteurs bloquant l’effectivité du droit à l’eau »
Le 28 juillet 2010, l'Assemblée Générale des Nations Unies reconnaissait le droit à l'eau et à l'assainissement comme un droit humain. C'est le résultat d'une longue bataille à laquelle la Fondation a pris part dès la fin des années 1990. Depuis, ce droit est régulièrement invoqué par des citoyens et collectifs pour exiger un accès à l'eau adéquat.
Voir la publicationLe cas de biopiraterie du Couachi en Guyane
En 2015, la Fondation Danielle Mitterrand s’est opposée à un brevet de l’Institut de Recherche pour le Développement. Ce brevet porte sur les propriétés antipaludiques de la plante Quassia Amara identifiées en Guyane grâce à l’apport de savoirs traditionnels. Il constitue un cas flagrant de biopiraterie.
Voir la publicationWebdocumentaire « Le réservoir de déchets miniers de Caimanes : Chronique d’un territoire sacrifié »
Le Chili a basé son développement sur l’extraction des matières premières, en particulier du cuivre dont il est le premier producteur mondial. Cela lui a valu de bénéficier de l’un des meilleurs taux de croissance d’Amérique latine. Mais quels sont les revers de ce “miracle” ?
Voir la publicationWebdocumentaire « Exploitation intensive des ressources naturelles : Refaire des choix de société »
L’extraction intensive des ressources naturelles en vue de leur commercialisation à l'échelle mondiale, que nous appelons "extractivisme", est le support de nos sociétés contemporaines dites « développées ». C’est le carburant dans la voiture, mais aussi la voiture elle-même, ce sont les métaux dans les smartphones et autres objets électroniques, c’est l’énergie que nous consommons tous les jours, etc.
Voir la publicationWebdocumentaire « Eau et climat : Rendons l’eau à la Terre pour restaurer le climat »
Le changement climatique est intrinsèquement lié à l’eau, tant par ses causes que par ses conséquences. Les conséquences, nous les connaissons tous-tes : sécheresses, désertifications, inondations et autres catastrophes climatiques sont toutes liées au surplus ou à l’absence d’eau.
Voir la publicationLes rencontres « Eau, Planète et Peuples » : changeons de paradigme pour l’eau
Depuis leur lancement en mars 2012, les Rencontres « Eau Planète et Peuples » ont rassemblé des dizaines d’organisations de la société civile du monde entier pour partager leurs expériences et leurs visions de ce bien essentiel qu’est l’eau. Une même idée nous rassemble : celle de l‘eau comme bien commun accessible à tous les Hommes et élément constitutif de la vie à protéger.
Voir la publicationLes alternatives à l’appropriation de la biodiversité et des savoirs traditionnels des peuples autochtones
Le concept de biopiraterie correspond à la privatisation du vivant et des savoirs traditionnels sur la biodiversité, notamment par le biais de brevets. Plus précisément, la biopiraterie désigne l'appropriation illégitime des connaissances traditionnelles des peuples autochtones sur l'usage des ressources génétiques, sans leur consentement et sans partage des bénéfices liés à la valorisation de ces ressources.
Voir la publicationLes rencontres « Eau, Planète et Peuples » pendant la COP21
Depuis leur lancement en mars 2012, les Rencontres « Eau Planète et Peuples » ont rassemblé des centaines d’organisations de la société civile du monde entier pour partager leurs expériences et leurs visions de ce bien essentiel qu’est l’eau. Une même idée nous rassemble: l‘eau est un bien commun qui doit être accessible à tous car il est l’élément constitutif de la vie.
Voir la publication