Les ONG, les Nations Unies… et le droit à l’eau
09.01.2014
Marion Veber, en volontariat Service Civique à France Libertés depuis l’été 2013, publie un article sur le site internet RAMPEDRE.
Entre 1997 et 2011, des ONG bénéficiant d’un statut consultatif au Conseil Economique et social de l’ONU se sont mobilisées pour la reconnaissance du droit à l’eau et à l’assainissement. Quelles sont les ONG qui ont été actives ? Quels discours ont-elles portés et quelle a été leur influence sur les organes du système onusien des droits de l’homme ?
Marion Veber, ancienne étudiante de l’IEP de Toulouse, a effectué son stage de fin d’études sous la direction de Riccardo Petrella à l’Institut Européen de Recherche sur la Politique de l’Eau (IERPE) à Bruxelles. Son article a été publié sur le site web RAMPEDRE (Rapport mondial permanent en ligne sur le droit à l’eau), géré par l’IERPE, partenaire de France Libertés.
Elle y analyse l’impact de l’activité des ONG dans cette période critique où les Nations Unies avançaient vers la reconnaissance du droit à l’eau. Par leur mobilisation et leurs alertes quant aux menaces à la concrétisation du droit à l’eau, les ONG ont eu une influence certaine dans le processus de reconnaissance de ce droit. Marion Veber nous rappelle ici le rôle que la société civile peut et doit jouer auprès des institutions de gouvernance mondiale.